Mon billet d'humeur du 24 février 2014 : les fauves sont dans l'arène

Lundi 24 février 2014

Les voilà lâchés.

Période électorale oblige, le temps des « fausses agressions » verbales est revenu. Une façon comme une autre de manipuler le bon peuple et surtout de se foutre royalement de sa gueule car ces politiques, en apparence de convictions opposées, se tiennent bien tous par la main au-delà de ce qu'on peut imaginer.

Pour preuve, je l'avais constaté moi-même, en 2005, lorsque j’avais été invité à participer à une émission Controverse au cours de laquelle les politiques présents sur le plateau n’avaient pas manqué de s’étriper sur le plateau pendant l’émission. Mais, après l'émission, les caméras éteintes, changement de décor. Tous en bar en train de rigoler, bras dessus, bras dessous...  

Mon invitation était consécutive à une plainte en Justice que j’avais déposée, en tant que citoyen lésés, à l’encontre de Jean-Marie Happart qui avait signé des contrats en anglais, avec le filou Bernie qui l’avait berné. Contrats liant la région Wallonne et le Grand Prix de Francorchamps donc, de façon indirecte, le contribuable payeur. Bien évidemment, le sémillant Happart avait décliné l'invitation... 

Le temps a passé et nous voilà à l’aube de nouvelles élections.

Le cirque recommence, peu importe les acteurs.

Ce week-end, c’était Louis Michel qui s’en prenait à Di Rupo qui a fort à faire avec ses pandas, répondant de la sorte aux vocalises de la diva du PS, Laurette Onkelinx.

Quand on pense que tous ces ténors ont le même employeur, le citoyen qui les rémunère grassement.

Est-ce bien raisonnable ?  

A demain pour un autre billet dans lequel je vous expliquerai pourquoi, en 2010, je ne suis pas allé voter.